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vendredi 16 avril 2021

le rocher de palmer a cenon

  • Mehdi KERKOUCHE – Cie EMKA présente DABKEH : "D’origine algérienne, j’ai toujours été fasciné par l’énergie qui se dégage des danses orientales lors des mariages. Le DABKEH m’a fasciné par sa puissance et son énergie. Dans cette danse traditionnelle arabe, les danseurs se tiennent les mains en ligne et frappent fortement le sol. Les danseurs improvisent, communient et se suivent en poussant des cris pour accentuer la danse et se donner de l’énergie. En apportant un regard contemporain sur ce style nous cherchons à connecter les danseurs très différents dans l’énergie, le style et les corps que j’ai rencontré ces dernières années."

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  • Grichka CARUGE – Cie Art Track présente BIRTH : Né à Los Angeles, le krump met à l’épreuve les artistes qui, à travers cette danse profonde et authentique, apprivoisent le langage de leur propre corps. Fasciné par ce mouvement depuis 2005, Grichka se lance aujourd’hui dans un défi de taille : celui de révéler dans Birth, en faisant monter le krump sur scène, les forces et inspirations brutes des danseurs. Ici le krump est associé à de la musique classique, et rappelle ainsi le parcours du chorégraphe qui a souhaité ponctuer sa pièce de techniques et d’univers qu’il a exploré durant son parcours. Un choix qui rend cette création d’autant plus profonde et authentique.

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  • Dafne BIANCHI – présente un extrait de NATIA : Natìa est une création pour 3 danseuses qui s’inspire de L’addio ai monti, célèbre extrait de : Les fiancés, dans lequel Lucia pose un dernier regard sur son village et dit adieu à sa terre natale et aux choses qui lui sont les plus chères, contrainte de les abandonner à cause de sa situation mais aussi motivée par la poursuite de son rêve de mariage avec Renzo. Ce texte emblématique est le point de départ de la chorégraphe pour exprimer l’envie et la nécessité de reconnexion avec ses propres racines. Le roman Les fiancés se déroule aux temps de la peste et la chorégraphe, avec le spectacle Natìa, veut créer un parallèle avec la crise sanitaire actuelle. En termes de langage et de mouvement, Dafne veut concevoir un lien entre la multitude des techniques et influences que les interprètes maitrisent (waacking, danse contemporaine et dancehall).

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  • Première partie : DANSE SA PEAU : Le projet est né d’une envie de collaborer avec l’association JEUNE ET ROSE : proposer aux jeunes d’établissements scolaires de la Haute Gironde et des PRIJ de créer une chorégraphie sur l’histoire d’une femme atteinte d’un cancer du sein. Le projet qui se déroulera de janvier à avril est encadré par la chorégraphe bordelaise Maïlys SOUDANAS.

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